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charles x 4

Charles X au Rocher de Palmer: une mowton peace & love

Charles X, un nom qui probablement ne dira rien à beaucoup d’entre vous. Je ne pouvais pas en dire beaucoup plus il y a quelques semaines avant de découvrir la programmation du Rocher de Palmer. “Enfant de la Motown et du hip hop west coast” telle était la description. Des mots comme Motown ou Hip Hop résonnent forts dans ma tête. Si c’est également le cas pour vous, je vous conseille particulièrement ce lien qui vous permettra de jauger le niveau du showman et qui m’a définitivement décidé à aller le voir en live.

Passé cette étape, billet et acccred photo en main, je rentre dans une salle très intimiste du Rocher où il n’y a aucune frontière entre artistes et public. Le duo de Plane Aggy en première partie, laisser plâner un côté très blues et soul d’une part, et un côté beatbox d’autre part, ce qui a permis à l’audience de rentrer progressivement dans le monde très éclectique de Charles X. La chanteuse, nous a transporté de voix de velours, envoutante, tandis que lui, nous envoyait l’étendue de sa capacité vocale accompagné de sons iconiques du genre.

Scène prête, techniciens parés, public chaud, Qu’attendons-nous ? Aux premières notes de sa voix, beaucoup, dont moi-même, ont cherché sur la scène où devait se trouver ledit Charles X. Mais l’artiste a l’air d’apprécier de jouer des tours à son public. En effet, il s’est vraisemblablement faufilé discrètement au sein de la foule pour se lancer dès le début sur un titre puissant. Au plus près de son public, chacun peut se rendre compte de toute sa maîtrise et de la puissance dont il fait preuve.  Pour lui “All is about peace & love” mais lors de sa performance je rajouterai allégrement l’exaltation. Ce n’est pas du tout la même personne sur scène que dans ses albums. Il dégage un plus fort charisme, ses titres sont beaucoup plus entraînants et son jeu de scène est incroyable. Il interagit continuellement avec le public, on voit bien que le jeune Californien a une certaine proximité avec ce dernier et il lui rend bien.

Ecrit par Loïc Benoit. 

 

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