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I Me Mine et Talisco ont retourné le Krakatoa

Maxime et Pauline ont tapé du pied devant I Me Mine et Talisco au Krakatoa et vous racontent tout. 

Difficile de caractériser I Me Mine tellement on sent dès les premiers morceaux que leurs références sont nombreuses. On entre sur un chant a capella, puis on divague sur un synthétiseur fou et des rythmes de guitare saccadés ; ça part dans tous les sens ! Bref, prenez un shaker et mettez-y les Beach Boys, les Beatles, Django Django, les Arctic Monkeys et les Kaiser Chiefs. C’est frais, atypique, ça fait taper du pied et en plus c’est bordelais, on en redemande. Pas facile en plus de passer avant Talisco, mais la technicité et la rigueur de leur batteur, la bonne maîtrise des différentes gammes de son du synthétiseur et la sonorité très punk de leur guitare électrique donnent à ce groupe une vraie identité, et ça fait du bien. Je vous invite à écouter leur EP disponible sur Deezer et Spotify alors n’hésitez plus !

Après I Me Mine, Talisco est revenu sur sa terre natale. L’interprète du célèbre tube “ Your wish” entouré de deux musiciens, l’un à la batterie et l’autre à la guitare a su nous retranscrire avec force ses chansons. Le Bordelais nous a séduits avec les chansons tout droit sorties de son dernier album : Capitol Vision. Un second album contrasté et plus rock que folk. Devant la scène pour ses trois premières chansons, on ressent l’énergie et la force du chanteur qui armé de sa guitare nous interprète ses musiques.


Mais vient le moment de jouer “ Your Wish” ce fameux air que l’on a tant entendu sur la pub pour la marque de vêtements et qui avait su faire monter l’artiste à un tout autre niveau.  
Et encore une fois on n’est pas déçus, les sonorités résonnent dans la salle avec force et justesse, le public chante les paroles que nous connaissons tous par coeur.
Les autres chansons de son dernier album s’enchaînent avant que le chanteur nous interprète “The Keys”, la chanson de la pub Bouygues qui nous est tant restée en tête. Les couplets s’étendent pour le plus grand plaisir de nos oreilles. On en voudrait encore. Mais voilà qu’arrive l’heure de la dernière. Cette fois la musique est douce, parle des moments difficiles qu’a vécu le chanteur. Ce point final nous laisse sur une note moins rock’n’roll mais c’est un véritable plaisir.

Ecrit par Pauline Audibert et Maxime Barbier.

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