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3 ans après son dernier projet, Binks Beatz revient avec Drip Music 2

Binks Beatz, le premier beatmaker de 13 block, a sorti sa dernière mixtape vendredi dernier: ‘Drip Music 2’. 

Ses prémices dans la musique

Binks Beatz, aussi appelé Raphaël Fouulek, a commencé à se faire une place dans le beatmaking en produisant l’entièreté de ‘Violence Urbaine Émeute, la première mixtape du groupe Sevranais 13 Block. Dès lors, le beatmaker Parisien inspiré par la trap d’Atlanta, ne cesse d’évoluer: Kaaris, Rim’k ou même Lil Baby sont tous séduits par son travail.

Drip Music 1

Son premier projet ‘Drip Music 1’ sorti en mars 2019 confirme le style musical de Raphaël Fouulek. On y retrouve une multitude de kicks et des 808 très prononcés, sa signature. Sur les 12 titres du projet, on retrouve bien évidemment 13 Block, mais aussi Rowjay, Leto ou encore Hamza. Un panel d’artistes bien différents les uns des autres, autant sur leur manière de rapper que sur les prods sur lesquels ils posent habituellement leur voix. Avec ce projet, Binks Beatz trouve l’occasion de confirmer ce qu’il sait faire et de montrer qu’il sera à l’origine de beaucoup de futurs disques d’or.

Drip Music 2

Cela fait à peine une semaine que le deuxième volume de ‘Drip Music’ est sorti, et il fait déjà beaucoup de bruit. Au programme, 14 titres de pur rap. On y retrouve Laylow, 8Ruki, JMK$ et même Zikxo. Même s’ il s’est diversifié au niveau de son style de prod, Binks Beatz reste proche de ce qu’il sait faire: on y retrouve toujours autant de kicks, pour notre plus grand plaisir auditif. On le retrouve aussi en feat avec un autre beatmaker, Ikaz Boi, un autre gros nom de beatmaker de la scène francophone.

Pour lui, impossible de se projeter dans ce milieu, impossible de savoir quel va être le futur artiste avec lequel il va collaborer : “Tu peux sortir une mélodie hyper cain’ri, un gars va te faire un son qui sonne français avec. À l’inverse, tu peux faire un truc très français avec des accords magiques, la prod’ va finir à Atlanta. Il n’y a pas de règle. C’est l’énergie du morceau qui compte avant tout. Rien n’est cloisonné.” De quoi donner espoir aux futurs beatmakers français.

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